MONTEE DES EAUX ET EROSION

Sur ce site vous pourrez visionner les effets des modifications climatiques...

http://geongrid.geo.arizona.edu/arcims/website/slrworld/viewer.htm

L’approche méthodologique s’est orientée d’abord vers l’exploitation de documents de la Division Régionale de l’Hydraulique de Saint Louis et des travaux de thèses, de mémoires et diverses communications réalisées sur la côte Nord du Sénégal et/ou sur la brèche de la Langue de Barbarie. Ensuite le suivi par GPS de l’évolution de la brèche en trois sorties, et enfin, le prélèvement d’échantillons au Nord et au Sud pour déterminer les populations granulométriques prises en charge par les débits en transit. Cette méthodologie s’inspire d’un certain nombre d’hypothèses ciblant la fragilité du cordon de Barbarie, d’une possible dynamique de colmatage de la lagune créée par l’ouverture de la brèche et autres impacts socio-économiques.
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DAKAR - SENEGAL
« Océanium Futura »
5 ans pour la survie de 500 000 villageois…
Le nouveau défit d’Ali Aidar

Les espèces se raréfient, l’océan s’appauvrit. La surexploitation, le non respect des réglementations entraine la planète et le Sénégal en particulier, vers des lendemains difficiles. L’augmentation du niveau des océans met à court terme les villages des régions, Saint-Louis, Sine Saloum et Casamance en péril. L’avancée de l’eau salée rend les terres incultes et les puits inexploitables. C’est un exode annoncé pour ces populations, aller grossir les banlieues misérables de Dakar. N’avoir que pour horizon les petits boulots, les trafics, la délinquance, le vol et la drogue. Pour les plus courageux, risquer leur vie sur des pirogues au péril de l’océan. Ali Aidar, l’infatigable président de l’Océanium Dakar avec son équipe, lance un défit. Après « plante ton arbre » et ces 100 millions de végétaux pour reboiser, après 5 tonnes de vieux filets retirés des récifs en 1 mois. 5 ans pour empêcher l’exode, faire vivre des populations villageoises et contrôler la montée des eaux. Si elle ne peut être arrêtée elle peut néanmoins être contrôlée par le biais d’aménagements aquacoles. Ali Aidar lance donc l’ambitieux projet de muter les agriculteurs concernés en aquaculteurs. Leur permettre de vivre en exploitant des micros fermes marines. Les sites s’y prêtent à merveille ! Conjointement l’écloserie de langoustes, holothuries et cymbiums viendra réensemencer les récifs nettoyés et aires marines protégées. Après la riziculture développée par Ali Aidar, ce seront des exploitations en mariculture, vénéré culture et autres qui verront l’ONG Océanium les aider. Point fort pour ce vaste projet, l’engagement sur le terrain et la crédibilité de l’Océanium ! L’ONG va battre le tambour pour récolter les fonds nécessaires qui s’élèveront probablement au final aux alentours de 2 milliards cfa, 300 millions d’euro, ce que peut gagner un gagnant du gros lot du loto en Europe.