CECI EXPLIQUE CELA
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CECI EXPLIQUE CELA
Dans un article paru dans Walfadjri intitulé "Le Sénégal Malade de sa gestion", apparaissent clairement des données économiques qui doivent permettre à l'investisseur potentiel de peser le pour et le contre avant d'investir dans le tourisme...
Pour faire face à une situation catastrophique, l'Etat sénégalais joue avec maestria sur les taxes fiscales et douanières...
Le problème à mon sens reste que de nombreux Européens ont été ponctionnés arbitrairement et que cette situation induit une image très négative pour le tourisme au Sénégal, et l'investisseur dans ce domaine pourtant d'avenir...
Le dossier des carnets ATA n'est que l'illustration du procédé utilisé pour renflouer les caisses de l'Etat.
"Tout cela a eu pour conséquence de plomber les finances publiques, malgré les efforts consentis par les services des impôts et domaines et de la douane qui ont réalisé des performances appréciables avec une hausse en moyenne de 9 % des recettes chaque année. L’Etat n’ayant plus suffisamment de ressources, la dette intérieure a rapidement augmenté pour atteindre un niveau inacceptable, dépassant les 200 milliards de francs Cfa. Cette situation a fini d’obérer le développement de plusieurs entreprises privées, notamment celles qui évoluent dans le Btp qui ont mis en chômage technique une partie de leur personnel en attendant de rentrer dans leurs fonds."
Pour faire face à une situation catastrophique, l'Etat sénégalais joue avec maestria sur les taxes fiscales et douanières...
Le problème à mon sens reste que de nombreux Européens ont été ponctionnés arbitrairement et que cette situation induit une image très négative pour le tourisme au Sénégal, et l'investisseur dans ce domaine pourtant d'avenir...
Le dossier des carnets ATA n'est que l'illustration du procédé utilisé pour renflouer les caisses de l'Etat.
"Tout cela a eu pour conséquence de plomber les finances publiques, malgré les efforts consentis par les services des impôts et domaines et de la douane qui ont réalisé des performances appréciables avec une hausse en moyenne de 9 % des recettes chaque année. L’Etat n’ayant plus suffisamment de ressources, la dette intérieure a rapidement augmenté pour atteindre un niveau inacceptable, dépassant les 200 milliards de francs Cfa. Cette situation a fini d’obérer le développement de plusieurs entreprises privées, notamment celles qui évoluent dans le Btp qui ont mis en chômage technique une partie de leur personnel en attendant de rentrer dans leurs fonds."
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